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atelier du roman (l'), n° 46. la critique a-t-elle besoin des romanciers ? (iii)

atelier du roman (l'), n° 46. la critique a-t-elle besoin des romanciers ? (iii)

Flammarion (éditeur)
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Résumé

Ainsi sommes-nous faits : la sûreté de nos jugements sur l'humanité guide peu notre conduite avec les hommes que nous côtoyons, mais Philippe Muray finit par admettre ce qu'il savait et [...] se sépara des pipole germanopratins, qui le haïssaient et le craignaient pour être l'écrivain qu'ils ne pouvaient être. Michel Desgranges. Ce n'est ni de l'extérieur ni «partiellement» que le romancier peut penser à son art et, ne serait-ce que pour cette raison, la pensée des romanciers nous offre du roman une connaissance, une idée, une conception que la pensée critique, malgré toute sa bonne volonté et toutes ses découvertes, est incapable de nous donner. Isabelle Daunais. Non seulement le roman constitue, selon Julien Gracq, une oeuvre humaine - et mérite donc d'être traité avec la dignité que cette appartenance lui confère -, mais sa lecture doit devenir l'occasion d'une conversation amoureuse. Mathieu Bélisle. Alors j'aimerais bien que les spécialistes d'ascenseurs, les édiles municipaux, les fabricants de téléphone et les bistrotiers cessent de vouloir à tout prix améliorer ma vie. Leurs idées géniales ne s'épanouissent qu'à nos dépens. Et à nos frais, cela va sans dire. François Taillandier. Les livres d'Antoine Volodine s'inscrivent dans une vaste bibliothèque imaginaire dont l'ensemble, bien sûr, demeure inaccessible : ils paraissent avoir été miraculeusement sauvés de la destruction d'une civilisation lointaine, dont nous ne savons que ce qu'ils nous apprennent. Christian Monnin. En France, vous n'avez pas à choisir d'être français, vous n'avez que la liberté de l'être. Ici, c'est le contraire : nous avons le choix de ne pas l'être et nulle aisance à l'être. En compensation, on nous laisse le droit d'être nationalistes. Jacques Ferron. Si notre société sécularisée semble sacraliser la liberté d'expression, toutes les lois impliquant une police de la parole montrent qu'en réalité elle préfère les Picrochole aux Grandgousier ou aux Gargantua, le devoir-être au «fais ce que voudras», le moi idéal, grégaire, à l'idéal du moi. Michel Erman. Les mots ne sont que des mots ; ils composent un matériau embelli par tous ceux qui la malaxent et la modèlent, par les écrivains et les poètes qui lui donnent luminosité et musicalité [...] ou enlaidi par ceux qui l'obscurcissent. En écrivant en français, je suis fière d'apporter ma contribution à la mémoire universelle de l'expérience humaine. Anna Moï.

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