Sur Lire-Demain.fr : 9% de remise sur tout le catalogue Paiement par mandat administratif Littérature jeunesse établissements scolaires

Votre partenaire livres après votre librairie, spécialiste de littérature jeunesse auprès des établissements scolaires et collectivités.

revue du mauss, n° 58. générosités du récit : quand raconter, c'est donner

revue du mauss, n° 58. générosités du récit : quand raconter, c'est donner

le Bord de l'eau (éditeur)
18.20€20.00€

Livraison sous 8 à 21 jours ouvrés (selon dispo stock) InfosArticle à commander auprès de l'éditeur, sous réserve de disponibilité en stock, avec un délai de livraison de 8 à 21 jours ouvrés.

> Se connecter ou créer un compte pour bénéficier des 9% de remise Lire Demain
Ajouter aux favoris

Résumé

La revue du MAUSS n° 58 Deuxième semestre 2021 Notre vie est tissée de récits. Parfois même d'histoires à dormir debout. De ces récits d'imagination que nous offrent la littérature et ses fictions, mais tout autant de ceux, plus ordinaires, que nous échangeons avec nos proches.Pourquoi les récits occupent-ils une si grande place dans nos vies ? Pourquoi prenons-nous un plaisir si vif tant à raconter qu'à écouter ou lire des histoires ? L'hypothèse de ce nouveau numéro du MAUSS est que la réponse à ces questions est à chercher dans les relations entre don et récits Raconter, n'est-ce pas avant tout donner ? Le récit n'est-il pas fondamentalement généreux ?Ce sont ces générosités du récit que ce numéro propose d'interroger à travers la multiplicité des formes narratives : récit poétique, épique, romanesque, historique, mais aussi conte, histoire drôle, prière à Dieu ou à ses saints, récit de soi sur le divan de l'analyste, etc.En relatant des faits (réels ou imaginaires), le récit relie un donateur et un donataire, mais quelle est la nature des relations qui se nouent ainsi ? Et notamment entre auteur et lecteur. Car le récit de fiction est aussi offrande, de vie, donnant à voir des événements, des êtres, mais aussi des possibles qui sans lui resteraient lettre morte. Et n'oublions pas le plaisir du récit : ce qui se donne, libéralement.Cette dimension esthétique et créative, dont attestent ces multiples récits, n'est-elle pas d'ailleurs l'un des fondements du social, en cela qu'il désigne, plus que l'obligation ou la nécessité d'être ensemble, le plaisir partagé qu'on y éprouve ?

Nous utilisons des cookies (techniques, analytiques et de profilage de nous et de tiers) pour vous offrir une expérience enrichie.
Cliquer sur "TOUT ACCEPTER" pour accepter l'utilisation ou vous pouvez paramétrer les cookies.

TimeToExec : 0.74 secondes