Sur Lire-Demain.fr : 9% de remise sur tout le catalogue Paiement par mandat administratif Littérature jeunesse établissements scolaires

Votre partenaire livres après votre librairie, spécialiste de littérature jeunesse auprès des établissements scolaires et collectivités.

prisonniers au château d'if et aux îles du frioul : alsaciens et allemands internés à marseille en 1914

prisonniers au château d'if et aux îles du frioul : alsaciens et allemands internés à marseille en 1914

Gaussen (éditeur)
20.02€22.00€

Livraison sous 8 à 21 jours ouvrés (selon dispo stock) InfosArticle à commander auprès de l'éditeur, sous réserve de disponibilité en stock, avec un délai de livraison de 8 à 21 jours ouvrés.

> Se connecter ou créer un compte pour bénéficier des 9% de remise Lire Demain
Ajouter aux favoris

Résumé

Prisonniers au château d'If et aux îles du Frioul Août 1914 : l'armée française fait une courte incursion en Alsace, puis, contrainte de se replier, elle arrête des milliers de civils, fonctionnaires (alsaciens ou allemands venus d'outre-Rhin après 1871) occupant des postes dans l'administration impériale, ou simplement personnes perçues comme germanophiles et donc soupçonnées d'espionnage.L'histoire de ces milliers d'Allemands et d'Alsaciens, déportés par l'armée française en 1914, est tombée dans l'oubli. Des centaines d'entre eux furent internés au large de Marseille dans les premiers mois du conflit, au château d'If, puis sur les îles du Frioul où ils rejoignirent des compatriotes arrêtés sur l'ensemble du territoire national au simple motif qu'ils étaient ressortissants d'une nation ennemie ; les uns travaillaient en France depuis des années, d'autres eurent juste le malheur de se trouver sur un bateau qui avait fait escale à Marseille fin août 1914.Jean-Louis Spieser a retrouvé et traduit onze de leurs témoignages. D'origines très diverses, ils racontent tous l'histoire pitoyable de femmes, d'enfants et d'hommes prisonniers dans des conditions effroyables.Ces textes révèlent une page de la guerre peu glorieuse et encore inconnue du grand public. « Pourtant, estime Jean-Louis Spieser, un siècle après, on peut bien en parler, non ? Je ne veux pas que ces voix tombent dans l'oubli ».

Nous utilisons des cookies (techniques, analytiques et de profilage de nous et de tiers) pour vous offrir une expérience enrichie.
Cliquer sur "TOUT ACCEPTER" pour accepter l'utilisation ou vous pouvez paramétrer les cookies.

TimeToExec : 0.36 secondes