sayonara

Résumé

Sayonara Dans le Kyôto moderne, un amour perdu ressurgit. Avec le retour en ville de Yuki, Erwan, Français conquis par la sérénité du Japon, espère tenir enfin le bonheur entre ses mains. C'était sans compter sur l'air étrange de la ville qui le fait basculer dans le rêve et les illusions. Fasciné, il entre peu à peu dans un autre monde, peuplé de geishas à la beauté parfaite, de paysages nocturnes dignes d'une gravure d'Hokusai et de samouraïs à l'honneur perdu.En poursuivant le fantôme qui le hante Erwan se perd dans ces visions oniriques du passé. Il risque ainsi, en embrassant le vide, de se dissoudre dans l'air magique de Kyôto. A moins que ses amis ne parviennent à le ramener parmi eux.Construit autour d'un vieux conte japonais narré au fil du texte, Sayonara déploie avec élégance la métaphore du temps qui passe. La pudeur empreinte de poésie qui émane de ce roman le rend vibrant de sincérité.« Récit sentimental et poétique écrit comme un conte japonais. Tout le charme du Japon.» Pascale Andréani, diplomate« Une belle histoire, un style élégant, une atmosphère étrange et prenante. On s'y plonge avec plaisir.» Laurent Calixte, journaliste, Challenges« Dans cette quête amoureuse d'une image féminine puissante, l'auteur situe sa rêverie dans un Kyôto sublime, très éloigné des clichés japonisants habituels. Une très belle ode à la femme inaccessible et au Japon.» Elizabeth Gouslan, journaliste, Figaro Madame« Dans Sayonara, Christian Naël plonge le lecteur dans un Kyôto où les contes japonais ancestraux racontent les amours d'aujourd'hui, où soudainement, au détour d'une rue, une épiphanie romantique peut vous emporter et vous déposer, étourdi, quelques pages plus loin. Un roman poétique et délicat. » Guillaume Teisseire, co-fondateur du site Babelio« Sayonara retranscrit avec élégance une atmosphère japonaise, esthétique, hiératique, et symbolique. On sent l'influence de Murakami.» Sophie Blandinières, content manager du site We Love Words« Construction narrative intéressante avec le procédé des flashbacks. Comme un rêve éveillé. » Jean-Paul Vals et Mercedas Erra, présidente de BETC Euro RSCG