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latrinité, histoires d'apprentissage

latrinité, histoires d'apprentissage

les Solitaires intempestifs (éditeur) Jean-Marc Adolphe (auteur) Michel Vincenot (auteur)
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Résumé

Combien de danseurs contemporains sont venus à la danse en se trémoussant chez eux, dans le mimétisme des émissions de variétés ou, plus récemment, des vidéoclips. Mais peu s'en vantent, comme si c'était une maladie honteuse. La "danse belge" (pour dire vite) semble non seulement ne pas masquer de telles motivations premières, mais de surcroît, elle les expose avec fierté. Qui sont les danseurs professionnels, de quels milieux sociaux viennent-ils majoritairement ? On ne voudrait pas définir une expression artistique à l'aune de simples considérations sociologiques, mais il est tout aussi illusoire de les évacuer. Or s'il y a une "belgitude" aujourd'hui avérée dans la danse, elle puise une bonne partie de sa vitalité dans l'origine même de ses interprètes, ouverte à tous vents ; une rafraîchissante mosaïque plutôt qu'un moule unique (...)Jean-Marc Adolphe, Belgitude avéréeOn ne sensibilise pas à la danse, on transmet des passages où le temps est investi pour changer la nature de l'espace. L'art de transmettre consiste, au contraire, à désensibiliser, à neutraliser les lieux communs du langage, fût-il chorégraphique. La danse se lit dans le geste infini, c'est-à-dire non fini. Il est transmis à l'autre qui l'investit à sa façon. Et de geste en geste, le mouvement s'écrit dans un espace qui ne peut être revendiqué par personne. C'est dans l'ineffable du corps que la danse prend sa liberté, parce que le temps est le temps de tous. Apprendre à lire la danse, c'est donc déjà l'interpréter. Apprendre à la transmettre, c'est solliciter l'interprète dans la singularité de son être (...)Michel Vincenot, Transmettre l'ineffable de la danse

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