Erreur : impossible de récupérer les avis Manifestez ! : Destin Et Postérité Du Manifeste Communiste de Philippe Videlier - Livre - Lire Demain
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manifestez ! : destin et postérité du manifeste communiste

manifestez ! : destin et postérité du manifeste communiste

Syllepse (éditeur) Philippe Videlier (auteur)
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Résumé

Lorsque Karl Marx mourut, le 14 mars 1883, il fut célébré par les pauvres des États-Unis. Le drapeau étoilé fut mis en berne sur Brooklyn et les prolétaires de Manhattan lui rendirent hommage en un formidable meeting où se mêlaient Américains de naissance et immigrés allemands, tchèques et français. Il fut décidé sur le champ d'éditer en anglais pour les travailleurs d'Amérique le Manifeste communiste.C'est par le Manifeste que tout commençait alors, partout et toujours. Les réfugiés de la Commune de Paris l'avaient édité à New York et sur les bords d'un lac suisse quand la répression impitoyable faisait de l'Hexagone une prison. Prémonitoire, il avait tracé dans une anticipation exceptionnelle ce que serait le monde à venir : il serait unique et il faudrait lui opposer une force nouvelle pour créer un autre possible.Porté par l'utopie, le Manifeste communiste fut l'un des livres les plus lu. À l'heure où la planète mondialisée s'interroge sur la possibilité d'un autre futur, Manifestez ! donne à connaître l'incroyable aventure de ce texte qui, dans l'Ancien et le Nouveau Monde, a semé les ferments d'une modernité délivrée de l'oppression.«Le besoin d'un marché toujours croissant pour ses produits répand la bourgeoisie sur tout le globe : elle est forcée de former des établissements, d'établir des relations, de créer des moyens de communication partout. Par ce marché universel, elle a donné à la consommation de tous les pays une tendance cosmopolite. Au grand regret des réactionnaires, la bourgeoisie a dépouillé le système industriel moderne de ses fondations nationales. Les anciennes manufactures nationales ont été détruites ou sont sur le point de l'être ; pour être remplacées par de nouveaux modes d'industrie dont l'introduction devient une question vitale pour tous les pays civilisés. Les matières premières de ceux-ci, au lieu d'être indigènes, sont apportées des pays les plus éloignés, et leurs produits, au lieu d'être consommés par le marché national, sont vendus dans le monde entier. Au lieu des anciens besoins nationaux, satisfaits par des produits indigènes, nous trouvons partout de nouveaux besoins qui ne peuvent être satisfaits que par les productions des pays les plus éloignés, des climats les plus divers. Au lieu des anciens sentiments locaux et nationaux d'égoïste isolation, nous trouvons les nations liées par des rapports d'intérêt universels, dans une commune dépendance.»Manifeste de Karl Marx, Le Socialiste, New York, 1872.

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